L'univers d'un Thomas

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Ce texte traite d’une de mes 2 grandes passions dans la vie : les LEGO. Moins marqué que ma passion pour Pokémon, les LEGO prennent tout de même beaucoup de place dans ma vie. Et c’est le récit d’une histoire personnelle que je vous partage. Peut-être que certains se retrouveront dans mes propos.


Ce texte est sujet à diverses fautes d’orthographes ou de syntaxes. Veuillez m’en excuser.


Bonne lecture…




Après Pokémon, LEGO est la deuxième marque que j’exploite le plus. Mes 2 grandes passions, le duo Pokémon/LEGO. Pour ce texte, je ne suivrais pas un ordre chronologique, tout simplement parce que j’ai trop peu de données dans le temps. À la place, je vais le scinder en 3 parties, la première portant sur les jeux vidéo, l’autre sur les séries et la dernière sur les produits réels.


Bon, niveau jeux vidéo, je n’ai pas joué à énormément de jeux. Mon plus vieux jeu vidéo LEGO se nomme « LEGO Star Wars II : La Trilogie Originale » et j’y ai joué sur Xbox (celle de mon père). J’ai toujours la boîte de ce jeu, avec son disque, histoire de ne pas oublier les souvenirs et de me rappeler les bons moments passés. Parce que oui, c’est un jeu que j’ai beaucoup aimé, et si je devais me souvenir de quelque chose, ce serait l’humour, mais aussi le fait qu’il n’y a pas de paroles dans ce jeu. Il n’y a que des musiques avec des sons, pas de phrase ou de texte lors des cinématiques. Peut-être que certains n’apprécieraient pas, moi ça ne m’a pas dérangé dans le sens où cela pouvait convenir à des personnes ne sachant pas lire ou parler. Bon, c’est sûr que d’un certain point de vue, ces personnes ne pourront donc pas progresser. M’enfin moi ça ne m’a pas dérangé. Je ne sais plus quand est-ce que j’ai commencé à y jouer, sachant que ce jeu est sorti en 2006. Il y a d’ailleurs quelques temps, j’ai revu le film « Star Wars, épisode VI : Le Retour du Jedi » à la télévision, et ça m’a rappelé le jeu vidéo en question, de par les lieux et les musiques surtout.

Dans le même esprit que ce jeu Star Wars, j’ai aussi un « Lego Batman, le jeu vidéo », également joué sur Xbox et dans la même philosophie que le jeu Star Wars. Là encore, beaucoup d’humour, pas de paroles, les mêmes collectables, les mêmes touches, donc je ne suis pas dépaysé. Ce jeu en revanche est sorti en 2008. Quelque chose d’original dans ce jeu, ce serait le fait qu’au début nous jouons les gentils (Batman, Robin) qui affrontons les méchants. Nous suivons donc la progression des héros, leurs parcours. Mais passé un certain niveau dans le jeu, nous pouvons « recommencer » toutes les missions, mais en jouant cette fois-ci les méchants. Quand nous incarnons les gentils, nous nous rendons à l’emplacement des méchants pour les battre. Or, dans le sens inverse, nous faisons le parcours des méchants, qui vient donc avant l’arrivée des héros. Ainsi, nous nous rendons compte du parcours que les vilains ont fait, en visitant des lieux proches que ceux que l’on visite en jouant les gentils. Et ça, j’ai beaucoup aimé. On a vraiment une histoire, et le parcours des 2 camps. Une mission que j’ai particulièrement aimée, que je trouvais marquante, est la dernière mission du troisième chapitre (contre le Joker). Il faut savoir qu’il y a 3 grands chapitres (que l’on peut jouer dans l’ordre que l’on veut) avec chacun un « boss final » qui à chaque mission est accompagné d’un boss. Il y a en tout 5 missions par chapitres. Ainsi, quand vous êtes gentil, vous affronterez à la fin du niveau le boss correspond, boss que vous incarnez quand vous jouez le trajet des méchants. Et donc le 3ème chapitre, c’est le Joker qui est aux commandes, avec d’autre boss. 5ème mission, il faut l’affronter, ainsi que sa comparse Harley Quinn. Et la mission a lieu dans une église, bâtiment à la forte symbolique. Vous commencez à l’extérieur, la musique indique une ambiance importante, la police tire sur les sbires du Joker, sirènes en plus. Tout au long de la mission, vous ascensionnez l’église, tout en affrontant Harley. Puis arrivé bien en hauteur, vous devez faire face au Joker pour l’arrêter dans ses manigances et le mettre sous les verrous une bonne fois pour toute. Mais c’est sans compter sur le vitrail qui se brise, révélant un hélicoptère du Joker qui vous tire dessus. Une fois l’engin abattu, vous pouvez vous mesurez contre le boss pour l’ultime combat, au pinacle d’une grande rivalité. Bon, le combat n’a rien d’extraordinaire, c’est plus l’ambiance qui est importante à mes yeux. Dans chaque chapitre (donc 5 missions), gentils comme méchants, vous incarnez un véhicule, pour un mode de jeu un peu différent. J’ai moins aimé ces missions, il en va de même pour ce même genre de mission dans Lego Star Wars II. Un autre aspect que j’ai apprécié dans Lego Batman est que vous pouviez acheter dans le jeu des anecdotes sur des personnages ou des lieux du lore de Batman. Et la dernière anecdote à pouvoir être achetée (et donc atteindre le 100 %), coûtant également le maximum de monnaie que nous pouvons accumuler, se contente de « La fin… ? ». Et j’ai beaucoup aimé cette phrase, elle peut vouloir dire beaucoup de chose, prendre plusieurs sens. À chacun de l’interpréter comme il le souhaite.

Un jour, chez notre grande tante à mon frère et moi, nous débutions le jeu « LEGO Batman 2 : DC Super Heroes » sur Nintendo DS. Ce jeu est sorti en 2012, mais je ne sais plus du tout en quelle année nous y avons joué. On passe du grand écran au petit écran donc. J’étais un peu déçu par ce jeu, parce que, étonnamment, ce jeu est différent de sa version grand écran justement. Les cinématiques utilisées restent les mêmes, mais pour des missions moins intéressantes quelque part. Et il en va de même pour la suite, « LEGO Batman 3 : Au-delà de Gotham », que j’ai joué sur Nintendo 3DS à Noël 2015. Pareil, des missions différentes que la version grand écran plus intéressantes, plus travaillés. Mais, peut-être que c’était le format de la console qui ne convenait pas, insuffisant pour la quantité de données nécessaire pour faire fonctionner le jeu. Ça, je ne sais pas, d’autant plus que le Lego Batman 1 auquel j’ai joué sur Xbox, mon frère avait le même sur PSP. La même version mais en petit écran. Une anecdote sur LEGO Batman 1 est que j’en ai eu 2 sur Xbox, car le premier plantait chaque fois à un certain passage dans une mission, rendant la suite du jeu impossible. En termes de jeu vidéo LEGO, c’est tout. Je n’en ai pas joué à beaucoup. Ah mince, mon frère me rappelle qu’il y a un autre jeu LEGO auquel j’ai joué et que j’ai oublié de mentionner. Et en plus, il vient 1 an avant LEGO Star Wars II. Il s’agit de « Lego Star Wars : Le Jeu Vidéo » pour Game Boy Advance. Bon, un jeu bien difficile pour moi où je ne suis jamais allé très loin (à la différence de mon frère qui a beaucoup plus progressé). Peut-être que si j’y rejouais actuellement, je progresserais plus, peut-être. Mais je ne ferais même pas l’essai.


La partie des jeux-vidéo terminé, il est temps de passer à celles des séries télévisées. Je ne vais pas le cacher, j’apprécie particulièrement les séries et sets des gammes LEGO Legends of Chima, Nexo Knights et Ninjago. Ces 3 séries sont importantes dans mon enfance, parce que c’étaient des émissions que je ne ratais pas quand elles passaient à la télévision. Et à l’époque, je ne connaissais que la télévision pour les voir. En revisionnant les séries en août 2022 et en juillet 2023, je me suis rendu compte que je gardais peut-être un meilleur souvenir que ce qu’elles valent vraiment, avec mon point de vue d’aujourd’hui. Mais ils n’empêchent que ce sont tout de mêmes de bonnes séries à mon goût. Ces séries sont d’ailleurs un déclencheur dans l’envie d’obtenir ensuite des sets LEGO en lien avec elles, parce que ce sont des véhicules, des lieux, des personnages sur lesquels je peux mettre une personnalité (pour une figurine), une histoire. Le fait d’avoir entre les mains une figurine que l’on retrouve animé à la télévision a quelque chose de particulier. J’ai l’impression d’avoir l’immatériel entre les mains. J’ai d’ailleurs voulu rendre hommage à ces 3 dessins-animés qui m’ont marqué, avec la création de l’image virtuelle de « The greatest villains of LEGO », image conçue à partir de d’autres images des personnages trouvés sur Fandom, mise en transparence et disposition des calques (les personnages) via GIMP, et mise en place de l’écriture par Inkscape. Au final, l’image représente 3 méchants (1 pour chaque série) que je considère comme les plus forts de leur série respective. L’image a d’abord été créé en janvier 2022 sous le titre « The biggest villains of LEGO », puis réédité en décembre 2022 sous son nom actuel. C’est une image d’amateur, un pro ferait beaucoup mieux. L’image est d’ailleurs téléchargeable sur le site dans sa rubrique dédié (Images virtuelles). La dernière série de dessin-animé en date de LEGO, DreamZzz, ne m’a pas particulièrement donné envie de visionner les épisodes, malgré que ces derniers soient tous disponibles sur France TV. Je verrais plus tard si l’envie m’en prend de les regarder.


Comme je le disais, ce qui va avec les séries et les jeux-vidéo, ce sont les sets, c’est à dire les produits matériels de LEGO, ces petites (et parfois grosses) briques que l’on combine pour y former un ensemble, que ce soit un personnage, un lieu, un véhicule, un objet de déco aussi, ou d’autres fonctions. Toute ma vie j’ai été baigné dans les LEGO. Le plus vieux LEGO dont je me souvienne est le « LEGO City 7243 – Le chantier » que j’avais étant très jeune, et qui contient une grue que je démontais pour que mon père me la reconstruise encore et encore. Aujourd’hui, de ce set, il ne reste pas grand-chose, si ce n’est ces pièces détachées dans les pièces de mon frère de moi. Ce LEGO est apparu en 2005, mais pas sûr que je l’ai eu à 2 ans. Non, le plus vieux set que j’ai encore est le « LEGO City 7235 – La moto de police » sorti lui aussi en 2005. Mais, il faut savoir que ce produit a également été offert en 2011 pour un montant d’achat minimum 55 € chez LEGO, et c’est sans doute plus dans cette période que j’ai dû l’avoir. De même, le « Lego Star Wars 8028 – Mini TIE Fighter » est sortie en 2008, mais a été rendu disponible à plusieurs reprises en 2012 et 2013. Par contre, un set que j’ai toujours et qui n’a pas été redistribué plus tard est le set « Lego Star Wars 8016 – Hyena Droid Bomber », sorti en 2009. J’ai eu ce produit scellé, car j’ai la notice et que je l’ai construit moi-même. J’ai également un autre set Star Wars de cette même année, mais que mon père avait trouvé d’occasion dans un vide-greniers. Pas sûr donc, que je l’ai eu cette même année. Eh oui, j’ai commencé plus les LEGO vers les années 2010 avec du Star Wars principalement, avant de passer au Legends of Chima, puis un peu de Nexo Knights. Pour ces 2 derniers j’achetais régulièrement des magazines contenant des figurines ou des petits ensembles. Malgré que je suivisse et que j’appréciais la série Ninjago depuis longtemps, je me suis mis tardivement à ses sets correspondants. J’ai commencé Ninjago par les magazines surtout, avant de me mettre aux sets. Mais mes collections ne se contente pas de Chima, Nexo Knights, Ninjago et Star Wars. J’ai un peu de tout, mais principalement ces 4-là. Aujourd’hui, la liste des LEGO voulu est très longue, et je ne les aurais jamais tous, par manque de moyen financier bien sûr, et aussi, pour l’instant, de place. En termes de lecture, il n’y a pas que les magazines que j’achète. Aussi des livres, pour enfant bien sûr. Bé oui, on ne va pas se mentir, Ninjago, Chima, Nexo Knights, le public ciblé sont les enfants. Ce sont des sets de jeu, avec des fonctionnalités pour faire affronter 2 factions ennemis. Mais bon, malgré ces âges prédéfinis, il n’empêche qu’un adulte peut aussi en acheter (et heureusement). C’est vers mai 2021 que je prends conscience des contrefaçons de figurines LEGO, après en avoir eu via eBay, qui s’avèrent donc être fausse, car cherchant à avoir tous les Ninjas dans leur tenues Legacy. Un grand tri des vrais et fausses pièces s’opère vers cette date-là. Plusieurs figurines et pièces s’en vont de ma collection. C’est donc vers ces dates là que je découvre (ou plutôt j’utilise) le site BrickLink, site de vente d’articles de LEGO normalement fiable. Ces vers cette date que débute le grand projet de la Mythologie. Un concept personnel d’organisation de mes sets et figurines LEGO au sein d’une grande histoire imaginaire, mêlant intrigue, trahisons, complots, combats, etc. Ce projet a surtout vu le jour premièrement pour m’aider à organiser le placement de mes LEGO, dans une logique que je n’avais donc pas avant de créer celle de la Mythologie. Avec cette histoire, je peux classer mes LEGO par clan, comme je le souhaite, et les modifier pour qu’ils correspondent à mes attentes, en lien avec la Mythologie. Comme pour beaucoup de chose, quand un projet est nouveau et qu’il me plaît, j’ai pas mal de motivation et je m’y lance à 200 %. Et les idées fusaient. Et avec le temps, la motivation s’estompe petit à petit, jusqu’à son potentiel arrêt. Je ne dirais pas que la Mythologie est à l’arrêt actuellement, bien que d’un certain point de vue elle l’est. C’est surtout qu’ayant créé les grands axes de l’histoire, il faut maintenant remplir les trous, et c’est là où c’est plus difficile. Pas l’imagination nécessaire pour créer les péripéties. De plus, je souhaitais créer un livre virtuel sur les personnages et véhicules de la Mythologie (à l’instar des encyclopédies des personnages de LEGO), mais les mises en transparences des images prennent énormément de temps sur certaines photos. D’autant plus que si je modifie par la suite l’ensemble des figurines ou des véhicules, il faut que j’en reprenne une photo et recommence la mise en transparence. De plus, n’ayant maintenant plus mon appareil photo, je me retrouve un peu plus démuni. Un bien grand projet à l’avenir incertain donc. Quoi qu’il en soit j’ai toujours les documents, et je les garde précieusement, si j’ai un jour j’ai envie de m’y replonger. Mais soyons honnête, je ne sais franchement pas si je continuerais ce projet. D’autant plus que, d’un certain point de vue, rien ne peut être publié officiellement via brevet puisque tout est du plagiat. Les noms, les figurines, tout. Non, ce qu’il faudrait c’est que LEGO publie et concrétise mes idées en animés et en sets. Mais je doute que LEGO est envie de mettre de l’argent dans un projet incertain et non innovateur, en plus de devoir reproduire des sets avec de très faibles variations. Parce que oui, je ne créais pas de LEGO malgré mes nombreuses pièces disponibles. Encore une fois, manque d’imagination, même si je sais bien que ça s’apprend. Non, je me contente d’en modifier certains, avec généralement juste des changements de couleurs.


Ainsi peu importe ma passion, je ne suis pas du genre à inventer des systèmes techniques ou à poster un set sur Studio (site utilisé pour poster un LEGO personnel et, si approuvé, officialisé en vrai set, avec quelques variations). Mais bon, l’important est de se faire plaisir, et juste changer quelques couleurs d’un set, eh bé ça me plait et ça modifie un peu le visuel du set, l’appréciant davantage. Le tout est de se faire plaisir quoi. Chacun fait à son niveau. Mais c’est vrai que parfois, c’est un peu frustrant de voir ce que d’autres peuvent faire avec l’imagination que je n’ai pas. M’enfin bon.

En février 2023, j’ai assisté à une exposition de LEGO. C’est la première fois que j’allais à ce genre d’évènement, et j’ai beaucoup. J’aurais d’ailleurs du plus observer les constructions et voir les détails. Si pour les cartes Pokémon je dispose d’un club dans ma ville, ce n’est pas le cas pour LEGO, où du moins pas à proximité.


Les LEGO sont donc une très bonne découverte, symbole de créativité et transcendant les âges et les époques. De toute façon, TLG (The Lego Group) a encore de beaux jours devant lui, et donc de futur produit à même de me plaire encore et encore (et probablement de pièces à changer de couleur).

10/04/2025